Rewind, please. Rewind!

Un manque, c’est une douleur pure et profonde. Ça touche toute ta vie, c’est insoutenable. Un manque… Ça ne devrait pas exister.

Depuis quelque temps, je repense à nous. Je me dis qu’on a déjà existé nous deux. On a été heureux, on s’est aimé. On s’est aimé comme personne n’a jamais aimé. T’étais ma moitié, et j’étais la tienne. Rien ne nous séparerait jamais, ni même le temps ou les chicanes.

Tu étais mon premier amour et sans le vouloir quand t’es parti, t’es parti avec mon coeur.

J’ai essayé de me convaincre qu’il était encore bien en place, mon coeur. Que j’allais t’oublier, parce que le temps répare les plaies. Je me croyais forte, invincible. J’en est vu d’autres, je suis désolé. J’ai essayé d’aimer à nouveau, de sourire, de t’effacer. Ça a marché, quelque temps.. Je me gardais occupé pour ne pas penser à ton corps, tes lèvres, ton sourire, ton amour.. J’ai voulu te faire du mal, encore désolé. Je suis parti avec le premier qui me faisait peut-être un peu chavirer, mais pas à ta façon.

Je sais pas ce que tu m’as fait, mais esti t’es encore là.

Je voulais que tu m’oublies, que toi aussi, tu tournes la page. Si tu m’oubliais, j’étais aussi dans l’obligation de le faire, tser. Je t’ai fait mal, pis j’le sais. J’le sais que j’t’ai rendu ça toft. Mais je sais que ça a marché aussi. Je sais que tu me vois plus de la même façon, que je suis rendu une simple inconnue.

C’est triste.. On s’efface à coup de liquide paper de nos agendas et POUF plus de sentiments, pu d’amour, pu rien..

Si j’écris tout ça, s’pas pour rien. Je me suis fait prendre dans mon propre jeux. Le karma m’a fessé dans le visage pis y m’a craché dessue. Dans le fond, il a fait ce que tu avais envie de faire…

Je te vois encore, je sais.. S’pas correct que je dises ça. Ça va te faire mal, pis à moi aussi.. Mais j’en peux pu. T’es encore là, t’es dans ma tête pis tu tournes sans cesse. Chaque moments, chaque je t’aime chaque rire, chaque fois… Rewind, please. Rewind!

Regarde-moi une dernière fois.. Souris-moi, serre-moi..

Reviens près de moi et serre-moi comme si jamais on avait eu mal. Juste pour une nuit, refait de moi ta princesse. Repars au matin, si tu veux. Mais aime-moi une dernière fois…

S’il te plait, rewind le film juste une fois…

 

Merci.

Je ne suis pas fâchée que tu m’aies trahi. Je suis juste contrariée qu’à partir de maintenant, je ne puisses pu te faire confiance.

Merci à toi de m’avoir fait du mal. Merci de m’avoir permis d’avancer, même si pour ça, il a fallu que tu me dompes comme une vidange. Merci d’être partie avec tout, sauf qui je suis vraiment. Merci miles fois! J’ai grandit maintenant et maudit que je suis bien. Je te regarde, des fois, encore de loin et je me dis que c’est la meilleure des décisions. Caliss que j’en reviens pas comment sur le coup ça à pu faire mal, combien de litres de larmes que j’ai pu verser à cause de toi. Tu m’as fait mal, mais s’correct moi avec! Méchant duo de marde ça, hein? Tka, mon beau, spa de nous que je voulais parler, spa de toi, NON! Pentoute!

La-vie-c’est-des-étapes…-La-plus-douce-c’est-l’amour…-La-plus-dure-c’est-la-séparation…-La-plus-pénible-c’est-les-adieux…-La-plus-belle-c’est-les-retrouvailles

J’ai réussit! Je souris, pis c’est maintenant rendu une priorité. Je le vois mon beau futur pis toi, t’es où? J’men criss! Je sais qui est là, LE gars et tu sais quoi? Y a surtout pas ta personnalité. Un jour, je vais, moi aussi, me faire serrer fort et me faire envahir de «je t’aime». Je vais sourire et dans un sens je vais avoir oublié que j’ai eu mal.

Ben oui, parce qu’un jour, tu seras pu là, accrocher à mes souvenirs.

 Un jour, je vais avoir ce que j’avais pas. OUPS! s’tai méchant ça, désolée.. AHH pis NON! J’ai pu besoin de m’excuser, t’as mérite la vérité, j’ai de la haine pour toi. C’est pas toujours ce qu’on a souhaiter, la VÉRITÉ?

Je tourne pas la page, non. Je change de chapitre. La douleur est effacer, nos souvenirs resteront, mais pour les voir, je devrai régresser dans mon livre. Et j’en est pas envie, je suis mieux et je m’aime en la nouvelle moi.

Merci encore, beauté, d’être parti sans jamais m’en avertir.

ARRÊTE!

CRISS!

Je t’avais déjà dit que c’était la dernière fois, ma dernière lettre, mes derniers mots. Je t’ai déjà dit que je t’écrirai plus et que je te laissais partir. Je te l’ai dit et t’as rien compris. Pourquoi tu joues encore? Pourquoi tu me fais mal et fait basculer de gauche à droite? Pourquoi? pourquo? pourqu? pour? pou….. ahh pis laisse faire!

J’ai pu de mots pour te dire comment tu me fais mal. T’en avais pas assez, hein? J’avais pas assez souffert, des larmes, y en avait pas assez? Je suis pas ta poupée, tu peux pas me crisser aux vidanges, venir me rechercher avant que le camion passe pis me recrisser dedans quand y part pour refaire la même affaire la semaine prochaine! Je sais pas si tu sais, au haut de ton orgueil et de ton égo, mais MOI AVEC, j’en est des sentiments. MOI AUSSI, J’AI MAL! Regarde autour de toi, y a pas juste toi. Y a pas juste Monsieur, ici.

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J’ai fini. Fini de jouer à l’innocente. J’ai pris mes rames pis je suis partie. Ça y est, tu me vois pu! Je suis partie vers un monde meilleur, meilleur que celui dans lequel tu m’as entraîné. Cherche-moi pas, je suis pu là et je reviendrai pu. J’ai voulu te donner tout ce que j’avais, mais t’as rien voulu savoir. Maintenant, c’est mon tour. Je sais que t’as recommencer à te demander j’étais où, à vraiment avoir peur. Je suis désolé, mais je vais trouver mieux. Moi aussi, je les mérites chacun des «je t’aime» que j’ai pu te dire, moi aussi je la mérite toute l’amour que j’ai pu te donner et je sais bien que c’est pas toi qui va me la donner. 

Arrête de me chercher! Malgré tout l’amour, tu ne fais plus partie de ma vie..

J’aurai dû..

La tristesse est une émotion caractérisée par des sentiments de désavantages, de perte, d’impuissance, de chagrin et de rage. D’un point de vue cathartique, lors de la tristesse, les individus s’expriment honnêtement, sont moins énergiques et émotionnels.

Depuis que tu es parti, j’ai une sensation de vide qui est présente en moi. J’avais l’impression d’avoir trouvé mon tout et que l’on me l’a arraché sans même demander mon avis. J’ai l’impression d’être une personne sans âme. Je me bats mais, j’ai l’impression de donner chacun de mes coups dans le vide total et profond. Je ne sais pas si tu me vois, au loin, mais, je ne suis plus rien. J’ai la tête remplis de souvenirs et je vis dans le passé. Je vis des jours où tu me disais sans cesse «je t’aime» et où tu me tenais fermement dans tes bras. Je te vois encore assis à mes côtés à rire de chacun de mes petits défauts. Je te vois me chatouiller jusqu’à en mourir. Je vois TOUS, sauf toi encore ici.

Reviens, s’il te plaît. Je te cherches dans chaque recoin, t’es où?

Reste où tu es, mon amour, la vie s’occupera de nous.

Je dois arrêter de te chercher, je dois arrêter de me faire mal. Parce que, tu sais, mon amour, je ne peux pas continuer d’avoir mal comme ça. Si tu m’aimes encore, retiens-moi avant que je parte vraiment. Laisse-moi pas partir si tu vas le regretter, prend ma main pis amène-moi dans tes bras. C’est la dernière fois, que je t’écris bébé, je pars. Je fuis la douleur, pas cet amour. Regarde-moi une dernière fois, regarde la douleur dans mes yeux, elle coule dans mes veines aussi. Elle se propage partout sans que j’en ai le contrôle, je parle et on ressent la douleur à travers les sons. Je ne peux plus, je ne veux plus. J’arrête, tu ne pourras plus me chercher. Peut-être qu’un jour ton visage ressortira parmi de nombreux inconnues, mais mon cœur t’aura effacé par peur.

Je ne veux pas devoir partir, mais mon cœur souffre.

Tu sais, mon amour, je t’aimais et je t’aime comme jamais je n’aurai pensé t’aimer aussi fort. Je t’ai donné tout ce que j’avais malgré mes défauts qui venaient avec. J’aurai voulu encore te montrer de moi. J’aurai voulu te la décrocher cette lune mais, je n’avais pas encore trouvé comment. J’aurai voulu te serrer encore plus fort contre mon cœur, j’aurai voulu t’aimer plus fort mais, la vie ne m’a pas laissé le temps. Je suis désolée d’avoir été la mauvaise personne dans cette histoire. Je m’excuse de ne pas avoir été à la hauteur. J’aurai du être plus ou moins ou je ne sais plus. Ma vie se résume maintenant à des « j’aurai dû ci, je n’aurai pas dû ça». Je ne peux pas continuer dans cette voie. Je vais partir de notre chemin et continuer le miens sans ta main.

Je pars, mon amour, je suis désolée.

Je t’aimerai toujours d’une certaine façon

Merci pour tout,

à plus tard xx

Je t’aime à la folie.

désolé.

Je sais que je suis peut-être plus le joyau que j’ai pu être à tes yeux dans nos début. Je sais aussi que j’ai pas toujours été un amour avec toi et c’est toujours plus tard que les regrets viennent. On a surement été trop vite et innocent pis spa de notre faute c’est la jeunesse ça mais, tu sais, j’y croyais ben fort. J’arrive pas à y croire qu’un feu si déchirant puisse s’éteindre en une fraction de seconde, en un mot de trop ou en un geste, J’y crois pas, ça reste ben ancré à l’intérieur pis caliss que ça fait mal.

Je te vois partout, je le sens encore ton souffle près de moi pis je les vois encore tes petits yeux remplis d’amour. Tu me hantes pis tu me hanteras surement un peu toujours. C’est pas un message d’adieu parce que ça peut pas être fini, ça ne faisait que commencer. Ça peut pas être ça, pas maintenant. T’as pas le droit de partir avec mon coeur comme ça et de rien me laisser. T’as pas le droit! Je vais faire quoi sans toi? Je cherche partout, mais je te vois pas. Encore un message de plus dans ta boite vocale et toujours aucune réponse. Tu étais mon tout, ma raison de vivre, mes sujets de conversations préféré, tu étais mon espoir dans ce monde dégueulasse, tu étais mon sourire dans les instants de tristesse et ma couleur dans tout ce noir.

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J’ai de la misère à respirer ça brûle de l’intérieur. on est pas des perfections mais, ensemble, on s’en rapprochait. J’ai mal au coeur et je brûle à l’idée de plus me réveiller à tes côtés. Disparaît pas, reste ici. Ensemble on est un tout. Avec toi je me battrais contre le monde tout entié, je gravirais les plus grosses montagnes pour que tu puisses encore me voir. J’ai besoin de toi. Je m’en remetterai surement avec un peu de larmes en moins.

Mais sache que jamais ce ne sera aussi beau.

Il y aura toujours un peu de tristesse en backround.

mon amour.

L’AMOUR DÉSIGNE UN SENTIMENT D’AFFECTION ET D’ATTACHEMENT ENVERS UN ÊTRE VIVANT OU UNE CHOSE QUI POUSSE CEUX QUI LE RESSENTENT À RECHERCHER UNE PROXIMITÉ PHYSIQUE, SPIRITUELLE OU MÊME IMAGINAIRE AVEC L’OBJET DE CET AMOUR ET À ADOPTER UN COMPORTEMENT PARTICULIER.

Je crois que j’t’aime. En fait, je crois vraiment que j’t’aime. C’est complément fou. C’est un des meilleurs sentiments que j’ai ressentie dans ma vie et je ne crois plus pouvoir m’en passer. Dès le premier regard, j’ai eu un certain crépitement dans le bas ventre….. Ouin, okay! peut-être que j’avais faim mais, ça, je devrais pas le dire. Tu sais, je l’ai su à partir de là que je te voulais vraiment… Ouin, okay! Peut-être que je te connaissais pas pentoute pis que t’aurai pu être dégueulasse comme personne.. Mais qu’es ce que tu veux que je te dises, c’est ça qui est ça, non?

Bon! Okay là, fuck off. Je te vois déjà étendu sur ton divan entrain de te dire: « quessé qu’a dit là elle, stu vraiment ma blonde ça?». je sais, j’ai jamais été fuull romantique pis j’t’ai jamais cacher ce que je ressentais. Donc, on va faire ça ben simple, mon amour, je vais faire comme d’habitude. Faire ce que je veux et dire ce que je veux. Anyway, je le sais ben que tu m’aimes même si je suis une petite gère-mène.

Donc, mon cher amour, je recommence. Prend pas panique, OUI je t’aime pis je t’aimes peut-être trop. Bon, pas un trop genre je devrais t’aimer moins, non, un trop de bonnes sensations nouvelles. Un trop de bon-humeur pis un trop d’amour.  J’en ai trop à te donner et j’ai peur que ça te fasses fuir. Je veux tellement qu’on soit heureux ensemble que des fois, j’oublie les bases. Je saute quelque étapes pis esti que je devrais pas, esti que je devrais en profiter au max de chaque petites secondes qui reviendront pu. Je sais pas si tu comprends ce que j’essaie de te dire ou si c’est un peu compliqué, mais tant que tu comprends la base, c’est pas mal.

Tu sais, bébé, si j’ai mal quelque fois et si j’ai de la peine aussi, c’est parce que je t’aime. C’est parce que j’ai peur que tu décides de partir. Fait juste m’serrer ben fort pis ça devrait ben aller. J’ai tout à t’offrir, je te donnerais le monde si tu me le demandais. Je t’apporterais la lune sur un plateau d’argent et je te rendrais l’homme le plus heureux si j’en serais capable. En fait, je ferais comme je fais en ce moment, te donner tout ce que je pourrais te donner. Je crois que je te dis pas, non plus, assez merci. Merci de m’endurer malgré mon «petit» problème de caractère, mes petites crises «occasionnelles», mon aire bête pis mes petites manies dérangeantes parfois.

Merci d’être TOI et d’être la personne qui me fais sourire. Merci de m’aimer autant que je t’aime et de partager ta vie avec moi. Merci de m’endurer et d’accepter tout les trucs qui font que je suis moi.

Je t’aime d’un amour infini..

À la vie et la mort.

fille d’un soir à long terme

J’ai partagé, non, en fait, pas partager parce que partager ça se fait à deux et tout ce qui touche deux toi, ça ne te fait pas. Donc, recommençons! Tu sais, cher homme, je t’ai donné une chose bien précieuse que plus jamais je ne pourrai ravoir ou toucher. Je t’ai donné un bout de mon existence. Aussi petit puisse-t-il être, c’est une des plus belles choses que l’on peut offrir à une autre personne. Je t’en ai offert à la tonne des bouts de mon existence. Je t’ai même offert des bouts de mon passé, je me suis ouvert et je me suis abandonnée à toi mais, toi, que m’as-tu offert? Une nouvelle sensation dans mon estomac appelée «souffrance» ou peut-être cette belle une unique chose appelée «larme»?

C’est vrai, ai-je oublié de mentionner que vivre avec toi ou sans toi, c’est comme tu veux parce que t’étais là, oui peut-être mais, en même temps, tu l’étais pas, c’est vraiment roft. J’ai vite compris que des gars comme toi, j’en verrai pas 1000 dans ma vie. En tout cas, je l’espérai vraiment pas. T’as toujours eu les deux extrêmes ben ben ancrés en toi, Tu donnes tout ou tu donnes rien. That it, that all. Bon, maintenant que c’est fini, on se le cachera pas, c’était souvent pas mal rien. Mais s’correct, tser! J’ai jamais trop chialler pour ça. Toute façon je t’ai tellement voulu, j’ai peut-être trop poussé, trop insisté. Je TE voulais tellement, TOI, l’homme sans coeur, sans remords, si inatteignable. Méchante bonne idée ça, good job!

T’inquiète, je t’en veux pas et je t’en voudrai jamais. D’autres priorités, qu’ils disent. J’ai longtemps souffert du fait que t’étais pas vraiment là quand j’en avais besoin. Pis quand tu l’étais, je me contentais du peu que tu m’offrait jusqu’au lendemain sans dire un mot. J’essayais d’y croire ben fort à tes fausses promesses à l’eau de rose et au fait qu’on serait encore main dans la main dans quelques années. Je le savais ben gros, au fond, que je pouvais pas te forcer à m’aimer et que mes fesses t’intéressait vraiment plus que mon sourire ou que ma personnalité. Je le gardait ben ben caché au fond avec des «on sait jamais» pour me consoler. 

Je l’ai toujours su que tu te placerais pas, que ta drogue, tes amis et tout ce qui avait un petit peu de fun à tes yeux prendrais toujours le dessus. Je le savais ben, qu’en fait, je n’étais rien de plus qu’une fille d’un soir à long terme. La fille que tu prétends aimer, mais que t’appelles quand t’es en manque de ce que tes amis et ta drogue ne peuvent accomplir. J’étais ta «fuck friend» sans que tu me l’ai dit. J’ai souffert de mes espoirs. Je me suis fait du mal avec mon espoir et mes attentes. Je me suis détruit et surtout TU m’as détruit. J’ai trop été blessé par ton absence, mais je te rassure je t’en veux pas.

J’ai pu besoin de toi, pu besoin de rien.

ça me manquera sûrement toujours un peu. Et oui, parfois, mes esprits vagabonderont un peu vers toi et la tristesse refera surface, ça me surprendra peut-être autant qu’un 20 dollars retrouver au fond d’un vieux manteau mais, tu sais, je ne t’en voudra toujours pas parce que tu m’as fait grandir. J’ai appris de toi et ça, c’est la plus belle chose que tu m’ai offerte, une nouvelle façon de voir.

Je ne t’en veux pas, cher homme. Mon cœur ne t’appartient plus et en fait, je suis vraiment mieux sans ton absence. Tu m’as changé et maintenant, je suis forte et heureuse.

Avec sûrement toujours un peu de tristesse en backround.